Début 2020, le coronavirus et la pandémieune grande épidémie qui touche beaucoup de pays et une partie importante de la population mondiale. ! Un sujet inouï, inédit ! Pourtant, L’Essentiel a-t-il traité le sujet ? Dans Petit virus, grande pagaille, L’Essentiel a essayé d’expliquer simplement les choses avec retenue, avec une sorte de discipline. L’Essentiel s’est voulu un modeste appui pour le public le plus fragile, le plus exposé à la maladie. L’Essentiel a insisté sur la nécessité de se protéger et donné les numéros d’appel pour s’informer.
COVID ET PANDÉMIE
Un an plus tard, L’Essentiel consacre à nouveau un cahier à la pandémie. L’Essentiel va-t-il perdre de sa prudence ? Va-t-il être péremptoire ou pathétique pour parler des effets de la pandémie ? Non, L’Essentiel n’accuse ni ne récuse, ne défend ni ne pourfend.
Dans les deux cahiers sur la covid, L’Essentiel a essayé de suivre une ligne guidée par ce que disait au début de la pandémie l’historienne et psychanalyste Elisabeth Roudinesco : « Il y a trop de gens qui songent moins à combattre efficacement la tragédie qu’à en jouir. »
Chaque cahier offre la plus grande variété possible de points d’entrée,
afin que le lecteur, le formateur qui aborde la thématique, puisse le faire en entrant par le point d’accrochage qui lui convient le mieux : ainsi, la plupart des cahiers proposent à côté des articles, des témoignages, des documents audio ou vidéo, des clips de chansons accompagnés de leurs paroles, mais aussi des dessins de presse.
Dans les cahiers Petit virus, grande pagaille et Vivre en pandémie, on trouve, entre autres, des articles sur les thèmes suivants