A comme Actualité. Que se
passe-t-il dans le monde? Vous le savez si vous recevez, chaque mois, l’Essentiel.
Oui, vous! Cher Abonné pour 10 euros par an.
B comme Bonjour. Ce petit mot que l’on dit, le matin, aux parents et aux
proches, à la boulangère, aux collègues, aux copines et
copains. Petit mot si simple mais si important qui ensoleille nos journées,
l’air de rien, innocemment. Nous à l’Essentiel, l’info,
on la veut aussi simple que ce petit mot-là.
C comme Classe. Saura-t-on un jour décrire toutes les douleurs et les
bonheurs vécus, tout ce qu’on peut découvrir avec pour seul
matériel: un tableau, une craie et un journal? L’Essentiel est entré dans
de nombreuses classes de la Communauté française… et même
au-delà, par le biais de son site…
D comme Dépêche. C’est la matière première de
l’information écrite aux quatre coins du monde par des journalistes
souvent de talent mais souvent anonymes. D aussi comme «dépêche-toi
de m’envoyer ton article! Je vais chez l’imprimeur demain.»
E comme EssEntiEl. E comme la lettre la plus fréquente dans la langue
française. E comme voyelle qui, articulée aux consonnes, fait trois
sons essentiels. Essentiel comme résumé de l’actualité du
mois… Essentiel comme indispensable.
F comme Fiches pédagogiques. Ces exercices pour profs et formateurs
qui accompagnent tous les mois le journal papier.
G comme Glossaire, définition des mots compliqués et signalés
en gras, en bas de nos articles ; le glossaire donne une définition plus
simple que le dictionnaire ; il explique le sens dans lequel le mot est utilisé.
H comme Humeur. De bonne ou de mauvaise humeur, le journaliste de L’Essentiel
doit présenter les faits et seulement les faits dans son article. Gai
ou triste, fâché ou content, il réservera ses sentiments
pour le billet d’humeur.
I comme Imprimerie. Invention géniale qui devait mettre l’information
et le savoir à la portée de toutes et de tous. L’informatique
la remplace de plus en plus. Les inégalités face à l’info
et au savoir demeurent…
J comme Jour J. Pour notre journal, le jour J est celui où tous les textes
doivent être envoyés à l’imprimeur. Jour de fièvre
et de picotement des yeux (comme aujourd’hui).
K comme Korrection. Par correction, nous renvoyons le lecteur à Orthographe.
L comme Lisibilité. Rendre l’information plus lisible en simplifiant
le vocabulaire, les phrases et les enchaînements du texte. C’est
une des ambitions de notre journal. Une autre ambition: la lisibilité politique
des événements du monde. Ce dernier exercice est encore plus compliqué que
le premier.
M comme Mensuel. L’Essentiel paraît une fois par mois et dix fois
l’an. Etre un mensuel n’épargne pas d’avoir un Jour
J
N comme Nord de l’Europe ; c’est dans le Nord de l’Europe qu’il
existe le plus de journaux comme L’Essentiel. Ils portent les noms de 8
Sidor, Pa Let Dansk… Ils s’attachent tous à traduire l’actualité dans
une langue de base.
O comme Ordinateur. Avec les logiciels de traitement de textes et de mise
en page, l’ordinateur a révolutionné l’édition
de journaux. L’ordinateur à la petite pomme est notre instrument
de tous les jours.
P comme panique (voir aussi jour J). Un article qui n’arrive pas, un mail
qui passe mal et c’est la panique. Dans la vie d’un journal, les
imprévus sont la règle et pas l’exception.
Q comme question (d’argent). Pour faire
un journal, il en faut. Surtout que L’Essentiel n’a pas de publicité.
Depuis quinze ans, nous négocions chaque année des subsides pour
pouvoir continuer à publier
le journal et son site. L’avenir n’est jamais sûr…
R comme rotative. Quand elles sont en route, les dés sont jetés.
Plus moyen de revenir en arrière. Tant pis pour les Regrets , les Rectifications,
les Remords.
S comme Simple mais pas simpliste. A L’Essentiel, on aborde des sujets
compliqués simplement. Mais on n’évite pas la difficulté.
Ce serait tellement plus simple, d’être simpliste.
T comme Titre. C’est ce qui accroche dans un papier. Ce qui vous conduit
par le bout du nez. On les aime drôles et parfois un peu mystérieux.
Le but c’est de lire l’article. Non?
U comme Une. C’est la vitrine du journal. Celle qu’on décide
en fin de mois, à deux doigts de la Panique.
V comme vocabulaire de base, vulgariser. Notre livre de chevet, ce sont les
mille premiers mots du français et les dicos de l’info. Pour rendre l’info
la plus claire possible.
W comme Wablieft, notre homologue flamand. W aussi comme Web, sur lequel
on peut retrouver L’Essentiel chaque mois.
X comme X + V, égale XV égale 15 ans.
Y comme y faut y aller. C’est ce qu’on se dit juste avant de signer
le bon à tirer.
Z comme zeste d’inconscience et de folie: indispensable pour continuer à publier
le journal chaque mois sans devenir totalement chèvre…