J’ai écrit dans l’Essentiel avant l’arrivée d’Internet. Je me souviens des dossiers de presse « à l’ancienne». Des fardes par sujet, méticuleusement préparées, remplies d’articles sélectionnés dans la presse nationale ou internationale que Lydia découpait et distribuait après la réunion de rédaction. Pas de recherche sur internet à l’époque. Ces fardes étaient nos principales sources pour à la rédaction de nos textes.
Une fois les textes relus, il y avait la relecture attentive de Lydia et les corrections proposées étaient toujours justifiées.