mardi 23 avril 2024

L’ESSENTIEL L’information simple comme bonjour

Parcourir « Femmes en mars, femmes en marche »

La journée des droits des femmes

Un peu d’histoire

Le 8 mars ? En 1917 déjà…
Le 8 mars, c’est la journée internationale des droits des femmes. Le 8 mars est une journée où les femmes manifestent, protestent et réclament haut et fort plus d’égalité ! L’idée de cette journée est née en 1910. Et en 1917, on la célèbre pour la 1ère fois.

Une réflexion sur cette journée

Journée de l’infâme ? Plus tout à fait
La journée internationale des droits des femmes est aussi une occasion de faire du commerce. Les marques profitent de cette journée pour faire de la publicité qui montrent toujours la femme comme marchandise. C’est pour ça que des féministes disent que c’est aussi une « journée de l’infâme ». C’est vrai, mais de moins en moins car les luttes des femmes sont passées par là.

Des citoyennes en action pour leurs droits

Les Femmes de mars à Charleroi

Le 8 mars, c’est la journée internationale des droits des femmes. A Charleroi, ville de Wallonie, cette journée est l’occasion d’activités pendant un mois ! Et ça s’appelle Femmes de Mars. Cette année avec la Covid forcément c’est différent, mais c’est toujours aussi attrayant, amusant, intéressant. Pour TOUTES et TOUS !

Un portfolio qui présente une des nombreuses activités du groupe « Femmes de mars »

Les femmes dans la rue
A Charleroi, comme dans beaucoup d’autres villes, des femmes surtout, mais aussi des hommes, ont manifesté à l’occasion de la journée internationale des droits de la femme. Retour sur l’ambiance et sur quelques slogans.

Le féminisme, qu’est-ce que c’est?

Pourquoi le féminisme nous concerne tous et toutes. Une réflexion sur la société patriarcale?

Féminisme, une affaire de femmes ?
Elodie Verlinden fait, entre autres, de la danse et du karaté, elle est aussi maître d’enseignement à l’Université libre de Bruxelles et féministe. Elle répond ici à la question : qui est concerné par le féminisme ?

Les femmes dans la culture

Une infographie et un article sur le peu de place des femmes dans la culture

Où sont les femmes dans la culture ?
Dans le cinéma et la musique populaire, il y a bien sûr des femmes vedettes, mais en réalité on laisse peu de places aux femmes. Et c’est pareil ailleurs…

Cultures féministes et culture tout court

Baker, l’étoile noire
Dans le cadre de Femmes de Mars, Cinergie.be, la Bibliothèque Langlois, PointCulture, Campus Danse et Charleroi danse, nous ont fait découvrir le film « Joséphine Baker, première icône noire d’Iliana Navaro. Une jolie découverte mise en contexte par Elodie Verlinden, Professeure à l’ULB d’histoire et esthétique de la danse…

Deux articles à propos d’un livre qui raconte les tabous dans le monde du patriarcat

« La familia grande », une grande famille ?
C’est l’histoire d’une grande famille aisée d’intellectuels qui aime inviter des amis pour des vacances au soleil. L’homme de la famille, c’est Olivier. L’épouse, les enfants, les beaux-enfants, les amis, tout le monde adore, tout le monde admire Olivier. Oui, mais…

« Souviens-toi, maman, nous étions tes enfants… »
Dans le livre La Familia grande, Camille Kouchner accuse son beau-père Olivier Duhamel d’avoir violé Victor, son frère jumeau alors qu’il avait 13 ans. C’est un livre sur une « grande famille » où l’on pouvait tout dire et tout faire au nom de l’idée de liberté, mais où l’on garde le silence sur ce qu’il faudrait dénoncer… Car Camille accuse aussi sa mère et lui rappelle : « Souviens-toi, maman, nous étions tes enfants…  »

Margaret Harrison, une artiste féministe, socialiste et révolutionnaire

Un portfolio pour voir ses oeuvres

Harrison, elle ne craint personne
Au musée BPS 22 à Charleroi, les oeuvres de l’artiste Margaret Harrison nous montrent combien le féminisme est bien plus que le combat pour les droits des femmes. Inversion, subversion, révolution, une exposition qui nous interpelle, toutes et… tous !

Une réflexion sur le patriarcat

« L’art est politique, sinon rien ! »
Au musée BPS22 à Charleroi, une exposition de Margaret Harrison. Son titre ? « Danser sur les missiles » car l’exposition s’ouvre sur des œuvres qui représentent la lutte de femmes contre l’installation de missiles nucléaires dans les années 1980. Ces femmes disent déjà à l’époque : « Détruisons le patriarcat, pas la planète ! » Et ces oeuvres montrent encore et toujours que « L’art est politique, sinon rien ! »

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

À propos

Par son existence même, le site de l’Essentiel mène des actions pour encourager la lisibilité des textes écrits. Les articles du site www. journal-essentiel.be sont écrits dans un langage accessible à tous, quelque soit son niveau de lecture de départ. Et les mots incontournables sont expliqués dans un glossaire qui accompagne l’article. Mais le site s’inscrit aussi dans un combat plus large.

Articles récents
GPSillu
Voyager dans le cahier "Les femmes qui font non, non, non, non, non"
GPSillu
Voyager dans "Désastre à Gaza"
GPSillu
Voyagez dans "Numérique, clic et déclic"
Newsletter

Restez informé, inscrivez-vous à notre newsletter, c’est gratuit et utile !

Nous suivre