lundi 5 juin 2023

L’ESSENTIEL L’information simple comme bonjour

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CLAIR, GÉNÉREUX ET COURAGEUX

Il y a beaucoup d’idées fausses sur ce qu’est le langage lisible, le langage clair. Ecrire simplement, c’est pourtant rendre accessibles à
Ecrire en français facile, ce n’est pas facile. Beaucoup d’associations et d’institutions qui s’adressent au grand public se rendent compte que leurs
Sous le titre du journal L’Essentiel, on peut lire L’information simple comme bonjour . En voilà un magnifique projet, parvenir à rendre
La première fois, c’était dans les années ’90. Je consultais la version papier comme administratrice d’une ASBL d’alphabétisation.
Mes premiers contacts avec la FUNOC datent du début des années 80, lorsque fraîchement sortie des études, je postule au CUNIC, Centre
Proposer une information simple et accessible en évitant tout simplisme, la tâche est rude tant il y a à faire dans un
J’ai connu L’Essentiel à ses débuts. A l’époque, je travaillais à Lire et Ecrire Liège et peu d’outils existaient en français facile.
A la FUNOC, je donne des modules de citoyenneté aux personnes étrangères ou d’origine étrangère. Les objectifs de ces modules : connaître
Un sujet, des milliers de points de vue. Conflit ou richesse ? Retrouver toutes ces ondes du monde sous la plume de Carolos.
Oh non, je ne parle Ni de femme, Ni de muse Aux cheveux arc en ciel Bien que ce journal L’Essentiel porte bien
Je suis formatrice en alphabétisation à la FUNOC de Charleroi. Voici mon expérience de formatrice en alphabétisation avec le journal L’Essentiel.
Quand j’étais encore prof de français au CVO Miras, une école de promotion sociale néerlandophone à Courtrai, il y a une bonne
Quand nous avons parlé du livre à Donë, elle était très enthousiaste, mais elle nous a avoué aussi être un peu embêtée.
Stimuler le goût d’apprendre, permettre d’acquérir des connaissances et des compétences, faire découvrir de nouvelles solidarités, contribuer à une meilleure compréhension des
L’Essentiel et moi ? Ou plutôt dire spontanément : Lydia Magnoni et moi. Vingt-sept ans donc d’homériques batailles pour faire vivre L’Essentiel.