Faites le quiz en bas de cet article

En Belgique francophone, il y a une personne qui veille officiellement à la sauvegarde des droits et des intérêts des enfants. C’est le délégué général aux droits de l’enfant. C’est Bernard De Vos. Et il tire la sonnette d’alarme. En effet, en 2009, un rapport sur la pauvreté des enfants en Belgique avait été donné aux responsables politiques. Pour Bernard De Vos : « 10 ans après, rien n’a changé. C’est même en réalité bien pire. »
Comme la Belgique est un pays développé, un pays « riche », on pourrait croire que les droits des enfants y sont respectés. Pourtant, il y a un gros problème : la pauvreté. La pauvreté a de graves conséquences sur la vie des enfants : en famille, à l’école, dans les loisirs…

Plus d’enfants pauvres en Belgique

La pauvreté infantile en Belgique est l’une des plus élevées d’Europe. A Bruxelles, 29 % des enfants grandissent dans la pauvreté, en Wallonie 22%, et 8% en Flandre. Comment avoir droit à la santé, à l’éducation, à la sécurité quand on vit dans une famille pauvre ?
Voici 17 critères, des « items » pour dire si un enfant vit dans une famille pauvre

Comme le disait Bernard De Vos sur la chaîne d’information RTBF : « Si on parle de droit à la scolarité on voit que les enfants de familles pauvres n’ont pas le même parcours que les enfants qui vivent dans des milieux sociaux et économiques plus favorisés.»
La pauvreté. touche les enfants dans tous les aspects de leur vie: la santé, l’éducation, à les loisirs, la sécurité quand on vit dans une famille pauvre ? En Belgique, le risque de grandir dans la pauvreté n’a donc pas diminué depuis le premier rapport publié il y a 10 ans… En Belgique, le risque de grandir dans la pauvreté n’a pas diminué depuis le premier rapport publié il y a 10 ans… Il menace encore aujourd’hui en Belgique les droits d’un enfant sur 5.

La précaritéle fait d'être dans une situation fragile, incertaine infantile en Belgique: le lien vers le résumé du rapport
La précarité infantile en Belgique: le lien vers le rapport complet du Délégué aux droits de l’enfant